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2016 a sans conteste relancé le marché de l’immobilier ancien et neuf, soutenu alors par des baisses de taux record, des dispositifs incitatifs (PTZ, Crédit d’impôt…), le retour des investisseurs et des primo-accédant. En résulte une hausse de prix dans les plus grandes villes de France notamment dans les zones où se développent de fortes tensions entre offre et demande.
Avec des prix au m² atteignant les 8 340 € en moyenne dans l’ancien, la capitale pourrait en 2017, selon les notaires de Paris-Ile-de-France, dépasser les seuils historiques de 2012 (8 490 € le m² en moyenne dans l’ancien). Cette tendance est due au manque d’offres qui crée une tension sans précédent dans la capitale « le prix au m² atteindrait 8 520 € en avril, soit une augmentation annuelle de 5.6 % », soulignent les Notaires Paris-Ile-de-France.
Paris n’est pas la seule à connaître une telle hausse. La région Ile-de-France (Petite et grande couronne) suit le pas, mais également la plupart des villes de province, à l’exception de Lyon et Lille.
Le dernier baromètre publié par MeilleursAgents.com fait le point sur la situation et présente les facteurs conjoncturels favorisant la hausse de prix de l'immobilier dans les grandes villes de France et en Province.
Le baromètre mensuel de MeilleursAgents.com présente la situation du marché immobilier de février 2017 :
Cette hausse de prix serait liée à des facteurs conjoncturels peu pérennes.
Voici les points clés mis en exergue par MeilleursAgents.com :
La hausse des prix dans les grandes villes de province est comparable à celle d’Ile-de-France, voire plus importante dans certains cas.
Lille est dans une situation tout à fait à part avec une baisse de -0,8% en janvier 2017 et de -1,1% depuis le 1er décembre 2016. Ces baisses s’expliquent par la décision d’encadrement des loyers mise en application depuis le 1er février 2017. L’expérience d’encadrement menée à Paris a eu les conséquences que l’on sait sur le ralentissement du marché des petites surfaces et la fuite des investisseurs accablés par une nouvelle mesure s’additionnant à une pression fiscale hors norme.
L’effet de l’encadrement des loyers à Lille n'a pas l'effet escompté, bien au contraire ; En effet, ce dispositif a un effet négatif aussi bien sur l'attractivité du parc privé, sur l'intérêt des investisseurs et sur les propriétaires.
La hausse des taux d'intérêt ainsi que le contexte éconmique incertain (présidentielles, BREXIT, chômage, menaces de Grexit..) ont pour effet d'accélerer les décisions des investisseurs solvables qui souhaitent profiter des offres attractives proposées par leurs banques. La hausse des taux amorcée en décembre 2016 devrait toutefois rester modérée ces prochaines semaines. Fin février, les taux moyens sur 15 et 20 ans s’établissaient respectivement à 1.45% et 1.65%
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