Fiches conseils
Nos fiches conseils vous aident à préparer votre projet
► Monuments concernés
Le régime spécial s'applique :
► Sont réputés ouverts à la visite, les immeubles que le public est admis à visiter au moins :
Cette durée minimale d'ouverture au public peut être réduite, dans la limite de 10 jours par année civile, du nombre de jours au cours desquels l'immeuble fait l'objet, entre le 1er septembre de l'année précédente et le 31 août suivant, de visites de groupes d'enfants, d'élèves (primaire ou secondaire) ou d'étudiants, dans le cadre de conventions conclues avec des établissements d'enseignement (publics ou privés sous contrat d'association avec l'Etat) ou des structures d'accueil collectif à caractère éducatif. Les visites doivent comprendre chacune au moins 20 participants.
En revanche, il ne s'applique pas aux immeubles construits sur les sites classés à moins, bien entendu, que ces immeubles ne soient en même temps des monuments historiques.
Jusqu'à l'imposition des revenus perçus en 2008, le régime dérogatoire applicable aux monuments historiques était ouvert largement aux propriétaires de monuments classés ou assimilés.
Depuis l'imposition des revenus perçus en 2009, la loi soumet le bénéfice du régime à une condition de détention de l'immeuble et exclut certaines opérations du dispositif.
A compter de l'imposition des revenus perçus en 2009, le bénéfice du régime est subordonné à :
Les revenus de la location d'un monument historique sont soumis à l'impôt sur le revenu dans la catégorie des revenus fonciers sans possibilité d'option pour le régime micro-foncier.
Les personnes ayant investi dans des monuments historiques peuvent bénéficier de certains avantages fiscaux.
Sous certaines conditions :
Pour aider au financement des travaux de restauration des monuments historiques, la loi de finances pour 2007 a introduit une dérogation au principe d’interdiction de toute publicité à proximité des monuments historiques et des zones protégées à condition que les recettes tirées de cet affichage publicitaire soient obligatoirement affectées au financement des travaux.
Ainsi, depuis le 1er octobre 2007, les propriétaires de monuments historiques peuvent, sur autorisation administrative, utiliser les bâches d’échafaudage installées lors de la réalisation de travaux de restauration comme espaces publicitaires.
Le fait que ces recettes soient obligatoirement affectées au financement de ces travaux ne remet pas en cause la déductibilité de ces derniers. Ces travaux sont déductibles des revenus fonciers imposables à l’impôt sur le revenu dans les conditions de droit commun.
Les recettes perçues par les propriétaires de monuments historiques au titre de l’utilisation des espaces publicitaires constitués des bâches d’échafaudage sont imposables dans la catégorie des revenus fonciers.
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