Augmentation des zones tendues dans les grandes agglomérations

Augmentation des zones tendues dans les grandes agglomérations

Les grandes agglomérations françaises connaissent une baisse importante du stock d’offres dans l’immobilier résidentiel ancien. Malgré le déconfinement, le phénomène s’est accentué dans des villes telles que Lyon, Nantes, Montpellier, Orléans ou encore Évreux. L’offre a ainsi chuté de 10% au niveau national, avec 6% en Île-de-France et 12% en région.  

Avec la crise sanitaire, certaines villes moyennes, proches de grands centres urbains, ont vu la demande de biens augmenter. Orléans et Évreux sont concernés par cette hausse post-confinement, créant des tensions sur le marché. En région, c’est une augmentation de 7 % de la demande post-confinement qui est mesurée avec un record pour la Normandie (+23 %). 

Autre motif de cette tension : le fort ralentissement de la construction de logements causé par l’arrêt des chantiers pendant le confinement.  

La seule éclaircie au tableau est une augmentation des demandes d’estimations de bien par les particuliers qui pourrait entraîner une hausse de l’offre.

source : galivel